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Ils sont venus :

10 février 2005 4 10 /02 /février /2005 23:00
Titre : Le pion blanc des présages – Chant I de la Belgariade
Auteur : David Eddings

Quelque part dans un monde Fantasy, peuplé de magiciens bons ou mauvais, où les prophéties règnent en maître pour dicter la vie d’un jeune garçon timide qui n’a rien demandé à personne et surtout pas de se trouver embarqué dans une quête où se joue le destin de ce monde. Heureusement, sa tante Pol l’accompagne et ce mystérieux Belgarath que tout le monde semble connaître, respecter ou craindre.

David Eddings a créé un monde composé d’une kyrielle de personnages qu’il nous dépeint avec tendresse et moults détails et traits de caractères. L’intrigue est prenante et les personnages tous très attachants. L’auteur manie l’humour avec justesse. C’est du Tolkien en moins grandiose, moins cérémonial mais beaucoup plus fin.

La magie en toile de fond, nos personnages vont nous faire découvrir ce monde aux contrés étonnantes au gré de leur voyage pour éviter que ne se réveille le dieu maléfique Torak.

Eddings possède une écriture fluide, précise et très plaisante à lire. Son péché mignon est de nous faire découvrir chacun de ses nombreux personnages à travers les petits défauts qui les caractérisent.

Un amour de saga qui contient 5 tomes tous du même cran.

Bonne prophétie.

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9 février 2005 3 09 /02 /février /2005 23:00
Extrait d'un article trouvé sur le web :

"La forêt de Brocéliande, chargée d'histoire, de légendes et de rêves est aujourd'hui menacée d'être transformée en une gigantesque poubelle publique. Il y est prévu la création d'un vaste centre d'enfouissement des déchets sur sa bordure, à proximité du château et des étangs de Comper.
Notre forêt de Brocéliande reste le plus vaste ensemble forestier de Bretagne ; le site constitue un patrimoine inestimable. Et pourtant ? Le projet d'une nouvelle déchetterie à Point-Clos, sur la route de Gaël-Concoret, est quasiment abouti. Le nouveau centre de stockage et de traitement des déchets non recyclables sera situé à 40 mètres de la forêt domaniale de Gaël-Paimpont. Il culminera à 14 mètres au dessus de la cime des arbres. Un stockage d'hydrocrabures est aussi prévu, alors même qu'on se trouve là sur le site d'un ancien aérodrome militaire dont le sous-sol recèle un nombre important de bombes datant de la seconde guerre mondiale.
...Un arboretum est également situé sur ce site.
D'un point de vue écologique, le projet est situé en tête de bassin, sur un sol particulièrement perméable, sur une hauteur cernées de sources et à quelques kilomètres seulement de l'étang au Duc dont l'eau est utilisée pour l'alimentation des communes environnantes. "

Et quoi, aucun respect pour l'Enchanteur, la fée Morgane et le beau Lancelot ? Ce projet devrait évidemment être stoppé. Je l'espère du moins, car je n'ai pas trouvé d'infos plus récentes. En attendant, vous pouvez allez signer la pétition sur le site de l'asso "Sauvegarde de Brocéliande" :


http://membres.lycos.fr/sauvebroceliande/


Cet article est publié avec l'aimable autorisation de l'adorable Genever.
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8 février 2005 2 08 /02 /février /2005 23:00
Titre : Les Maisons d’Iszm
Auteur : Jack Vance

Sur la planère Iszm, on cultive des maisons vivantes exportées dans toute la galaxie. Les Iszmiens sont des agriculteurs artistes qui élèvent et vivent en harmonie avec leurs maisons. Et ils gardent jalousement leurs maisons femelles pour conserver leur monopole, et leurs maisons en retour les protègent des visiteurs venus sur leur planète pour voler une graine.
Les Iszmiens et leurs maisons disposent de tout un arsenal de techniques naturelles et chimiques pour surveiller de près tout visiteur de façon méthodique et sans aucun humour. Farr le botaniste va l’apprendre à ses dépens…

Jack Vance est un conteur hors-pair. Le maître de la Space Opéra s’écarte un peu de sa spécialité pour cette enquête policière au cœur d’un univers attachant et en symbiose quasi-parfaite. Il a construit la trame de son intrigue de façon à dévoiler au bon moment les pensées et les manières de ces Iszmiens, tout en les plaçant au milieu d’une organisation de contre-espionnage digne des plus belles années de la Guerre Froide.

Bonne pousse.

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7 février 2005 1 07 /02 /février /2005 23:00
La directive européenne 2002/96/EC appelée DEEE (Déchets des Equipements Electriques et Electroniques) entre en vigueur progressivement à partir de cette année.

En substance, elle vise à contraindre les producteurs de produits électroniques à prendre en charge la prévention, la valorisation et l'élimination sans danger des déchets liés à ces produits.

Pour cela, elle instaure (dans les grandes lignes) que :

1) le producteur doit confier ses produits ferraillés à une entreprise de recyclage.
2) le producteur doit apposer sur ses produits un symbole signifiant aux utilisateurs finaux que le produit ne peut pas être évacué avec les déchets ménagers.
3) le producteur doit, soit mettre en place un système de reprise individuel et/ou collectif de ses produits usagers auprès des ménages, soit s'assurer que son produit sera bien acheminé vers des installations de traitement
4) le producteur doit fournir à la filière de recyclage les instructions de démantèlement de ses produits
5) le producteur doit entamer une démarche de prévention des risques liés aux déchets électroniques, dès la conception du produit.
6) les distributeurs, lorsqu'ils vendent un nouveau produit, doivent accepter de reprendre les anciens produits gratuitement sur la base de un pour un.
7) chaque état européen doit construire les infrastructures permettant la collecte sélective et gratuite des déchets électroniques auprès des ménages.


Pour être parfaitement clair, l’objectif de cette mesure est que les produits électroniques qui se composent en général de matières très polluantes pour l’environnement (résines, etc.), voire dangereuses pour l’être humain (plomb, etc.) ne puissent plus finir leur vie dans la nature.
Ceci concerne les téléviseurs, les téléphones portables, les ordinateurs et la liste exhaustive est extraordinairement longue.

Pour cela, il suffit que tout produit de cette nature soit récupéré à la fin de sa carrière pour être recyclé.

Le recyclage c’est faire quoi :
- le réparer pour en faire un produit d’occasion,
- le démanteler pour récupérer ce qui peut l’être et détruire proprement ce qui ne peut pas,

Le recyclage c’est faire comment€ :
- le rendre dans un magasin lors de l’achat de son remplaçant,
- le jeter dans une déchetterie possédant une filière spéciale pour les produits de cette nature,
- le renvoyer au fabricant.

Pour réussir cela, il faut que :
- les centres de recyclages possèdent des conteneurs spéciaux adaptés,
- les particuliers soient sensibilisés à cette démarche,
- les industriels financent toute cette filière.

A ce jour en France :
- AUCUN CONTENEUR SPECIAL POUR DEEE
- AUCUNE DEMARCHE DE SENSIBILISATION DES PARTICULIERS
- Seuls quelques industriels et distributeurs (grandes surfaces spécialisées) ont pris l’initiative de récupérer les anciens produits en échange d’un produit neuf vendu.

Les hommes politiques sont dans leur majeure partie irresponsables en matière d’environnement…


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4 février 2005 5 04 /02 /février /2005 23:00
Titre : Les Monades Urbaines
Auteur : Robert Silverberg

Au XXVème siècle, la terre porte 70 milliards d’êtres humains qui se sont regroupés dans des tours de 1000 étages. Chaque monade est une société à part entière autonome en matière d’énergie, de gouvernement, dont plus personne ne sort, et dont l’ensemble des métiers et de la hiérarchie sociale sont représentés par la hauteur de l’étage à lequel vous avez le droit de vivre.

Et même si chaque famille a son appartement propre, vous verrez qu’ils partagent tout le reste.
D’ailleurs le partage est une règle imposée, incontournable, inviolable. De même que l’obligation de fonder des familles les plus nombreuses possibles pour accroître sans cesse la population.

Et quand une monade regorge de trop d’individus, on en prélève des jeunes couples tirés au sort pour aller jeter les bases d’une nouvelle tour, ailleurs.

Un des plus célèbres ouvrages décrivant des Temps Modernes où la civilisation au fil des siècles a poussé ses règles et mœurs vers des paroxysmes et des déviations sur lesquels ils ne peuvent plus revenir.

L’auteur analyse parfaitement les rouages intellectuels et sociaux de cette organisation verticale.

Une modernité qui devient lourde à€ supporter pour certains d’entre eux. Et comme le doute est considéré comme une maladie, la maladie soignée de force, et les incurables « recyclés dans le vide-ordure »…

Bonne chute.


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29 janvier 2005 6 29 /01 /janvier /2005 23:00






L'homme intégré

Photo Jean-Jacques Cordier







La Nature désintégrée

Photo de Frank Chazot

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29 janvier 2005 6 29 /01 /janvier /2005 23:00
N'oublions pas : ce n'est pas l'homme qui vaincra la nature, mais c'est bien la nature qui, quoiqu'il se passe, reprendra le dessus.
Le dernier tsunami en est bien la preuve formelle, elle balaiera en quelques secondes ou en quelques milliers d'années des pans entiers de l'humanité qui l'agresse.

Je partage entièrement les démarches actuelles de réflexions sur l'avenir 'écologique' de notre société. Mais malheureusement, contrairement à beaucoup, je ne partage pas du tout les idées toutes faites qui veulent nous faire croire que c’est le travail qui pollue, et qu’il faut au choix, le taxer ou le tuer.

On sait parfaitement bien quelles sont les industries polluantes. Le monde de la recherche et les grandes compagnies (certaines l’ont déjà fait) sont prêtes à se lancer dans la course au développement de l’industrie propre de demain. Aidons-les à le faire dès aujourd’hui, et ce n’est certainement pas en les taxant.

On sait que les transports routiers pourraient avantageusement pour notre planète être remplacés par des modes de transport propres. Donnons-nous les moyens d’inciter les entreprises à choisir ces modes de transport propres.
Et ce n’est certainement pas en les taxant qu’on y arrivera. Par contre, en leur proposant des tarifs moins chers et la flexibilité dont elles ont besoin, elles se tourneront naturellement vers ces moyens.

A ceux que j’entends dire, la logique libérale capitalistique est la grande cause de cette déroute environnementale, je réponds simplement : croyez-vous qu’il faille renvoyer l’homme dans un monde archaïque, monastique, agraire et reculé ?
Bien sûr que non, tirons parti du progrès et servons-nous de lui pour trouver les solutions au lieu de vouloir revenir en arrière, et oublier si vite tous nos ancêtres qui trimaient dans les champs pour survivre et grâce au travail desquels nous sommes ici présents.

A ceux que j’entends dire : « ceci n’est pas l’affaire des gouvernements ou des entreprises, prenons-nous en main et commençons par agir nous-mêmes à notre niveau dans notre vie quotidienne », je dis BRAVO.
Vous avez tout compris, c’est par là que cela commence.
Mais à l’échelle de la terre, ce n’est pas en retirant l’eau goutte par goutte que l’on videra les océans. Ni même à coup de seaux de plage : il faut donc vraiment avancer sur le terrain politique.
Et c’est là que je suis attristé qu’il n’existe pas de parti écologique (en France au moins) pour faire avancer les choses.
Non, je ne parle pas d’un parti politicien qui bascule dans une idéologie de droite ou de gauche, ou se noie dans ses guerres internes (preuve qu’ils sont là pour défendre leurs intérêts et pas ceux de la nature), je pense à un parti écologiste qui pense d’abord à adapter la société actuelle pour la mettre au service de notre environnement, et à impulser de grandes idées et de grands chantiers.
Ecoutez-les : ils disent qu’il faut « préserver » l’environnement. Ne serait-on donc condamnés qu’à le détruire ?

Tant pis, on fera sans eux !
Ce qui me rassure, c’est que des hommes politiques et de grands institutionnels l’ont compris (de tous bords et de toutes tendances), et œuvrent dans ce sens depuis quelques années, et toujours plus nombreux.
Par exemple, la communauté européenne€ prépare de grandes orientations pour l’industrie de demain dans lesquelles sont intégrés de premiers bons principes environnementaux : encourager le développement de produits propres, de produits auto-régénérants, de produits upgradables, favoriser les technologies environnementales qui s’intègrent et utilisent les procédés naturels, etc.
Et pas en forçant les entreprises à suivre leurs directives… mais en mettant en place les conditions incitatives qui leur permettront d’y aller de leur propre initiative.

De même pour les particuliers, on ne pourra pas contraindre les gens à recycler leurs produits, on ne pourra pas les empêcher de se jeter sur le dernier produit électronique à la mode, mais dangereux au possible pour notre biotope.
Par contre, on peut les y inciter en leur offrant une réduc s’ils rendent leur vieux produit polluant au lieu de le jeter à la décharge. D’ailleurs, certains grands distributeurs l’ont déjà compris en proposant gratuitement de les débarrasser de leurs vieux objets encombrants à la livraison du nouveau.

Vous voyez : rien n’est perdu, pas la peine de jouer les alarmistes en participant à certains sommets mondiaux qui se trompent volontairement ou non de cibles, mais appliquer plutôt chacun à notre échelle tous les bons principes dès que l’occasion s’en présente dans notre vie privé et professionnelle.

Car sur un point à peu près tout le monde est d’accord… il va falloir faire vite !

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28 janvier 2005 5 28 /01 /janvier /2005 23:00
Titre : Le cycle de Fondation – Tome 1 : Fondation
Auteur : Isaac Asimov

Nul doute : Isaac Asimov est LE maître de la science-fiction.
Il est célèbre pour ses histoires de robots… et pour le cycle de Fondation.

Le maître a transformé quelques nouvelles sans liens€ en une série d'une remarquable cohérence.

En ce début de treizième millénaire, l'Empire n'a jamais été aussi puissant et aussi étendu à travers toute la Galaxie. C'est dans sa capitale, Trantor, que l'éminent savant Hari Seldon invente la psychohistoire, une science nouvelle permettant de prédire l'avenir. Grâce à elle, Seldon prévoit l'effondrement de l'Empire d'ici cinq siècles, suivi d'une ère de ténèbres de trente mille ans. Réduire cette période à mille ans serait peut-être possible, à condition de mener à terme son projet : la Fondation, chargée de rassembler toutes les connaissances humaines. Une entreprise visionnaire qui rencontre de nombreux et puissants détracteurs...

Cette histoire réunit tous les meilleurs ingrédients de la SF avec une profondeur dans la réflexion, exaltante.

Attention : le début est un peu difficile pour les non-habitués, mais cela vient très vite.

Bonne fondation.

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26 janvier 2005 3 26 /01 /janvier /2005 23:00
Pour les fans de Marillion, quelques liens hautement utiles....

A Script for a Jester Site http://membres.lycos.fr/godevin2000/
Poet's news http://perso.wanadoo.fr/fish.tcf/index.htm
Mark Wilkinson Art http://www.the-masque.com/
The Perception of Fish - official Fish site
http://www.the-company.com/index.htm

Comme ça, il y en aura pour tout le monde, aussi bien les fans du nouveau Marillion que les fans de l'ère Mark Wilkinson.

Je vous souhaite une 'Misplaced Childhood'.

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25 janvier 2005 2 25 /01 /janvier /2005 23:00
Les chroniques racontent qu'en 1999 aurait eu lieu un challenge d'aviron entre l'équipe des rameurs de la Technocratie et ceux de l'Académie des Hommes de Terrain. Les rameurs de l'Académie brillèrent dès le départ et arrivèrent avec 10 minutes d'avance sur l'équipe de la Technocratie.
De retour dans les locaux de la Technocratie, le Comité Supérieur d'Analyse se réunit pour étudier les causes d'un résultat si imprévu et si déconcertant. Les constatations furent les suivantes :
1) L'équipe de l'Académie était formée d'un chef d'équipe et de 10 rameurs;
2) L'équipe de la Technocratie était, elle, composée d'un rameur et de 10 chefs d'équipe. Le Comité demanda à l'Ensemble Majeur de Planification Générale de mettre en place, pour l'année suivante, une réforme dont les répercussions se feraient sentir à tous les niveaux de la délégation.

En 2000, lors du départ du nouveau challenge, l'équipe de l'Académie reprit une fulgurante avance.
Cette fois-ci, l'équipe de la Technocratie arriva avec 20 minutes de retard.
Face à ce nouvel échec, il fut décidé de réunir à nouveau le Comité Supérieur d'Analyse qui, après étude des fiches de l'Ensemble Majeur de Planification Générale (frappées au coin du bon sens, naturellement) prit en compte les faits suivants :
1) Dans l'équipe de l'Académie, il y avait un chef et 10 rameurs;
2) L'équipe de la Technocratie, suite aux réformes décidées par le Comité Supérieur d'Analyse et approuvées par la haute sphère du Management Directeur, comprenait :
            - 1 chef d'équipe,
            - 2 assistants au chef d'équipe,
            - 7 chefs de section,
            - 1 rameur.
Cet examen de la situation fut suivi d'une discussion très ouverte où, avec beaucoup de bon sens, l'analyse du président de l'équipe de la Technocratie fut adoptée avec enthousiasme par la majorité, constatant ainsi avec un sens de la formule lapidaire, que " ce rameur n'était bon à rien ".

En 2001, se présenta une nouvelle opportunité pour l'équipe des Technocrates. En effet, le Département Central de Coordination d'Analyse de la Technocratie, en collaboration avec le Centre Général d'Analyse, avait mis au point une stratégie novatrice qui améliorerait sans aucun doute possible le rendement et la productivité, grâce à de substantielles modifications dans la structure. C'était la clé de voûte du succès, l'aboutissement ultime d'une méthodologie qui ferait pâlir d'envie même les meilleurs managers du monde.
Le résultat fut catastrophique. L'équipe de l'Académie arriva cette fois-ci avec 30 minutes d'avance sur l'équipe de la Technocratie.
L'analyse de la situation conforta la pertinence des choix qui avaient conduit à cette situation :
1) Dans un but évident de déstabilisation spéculative, l'équipe de l'Académie avait opté pour une formation traditionnelle : un chef d'équipe et de 10 rameurs;
2) L'équipe de la Technocratie avait introduit une formation avant-gardiste :
            - 1 chef d'équipe,
            - 2 consultants qualifiés,
            - 1 auditeur empowerment,
            - 1 superviseur de downsizing,
            - 1 analyste de procédures,
            - 1 technologue,
            - 1 contrôleur,
            - 1 chef de section,
            - 1 technicien chronomètre,
            - 1 rameur.

Après plusieurs jours d'épuisantes réunions et autant de séances de brainstorming, avec une logique de dissonance cognitive parfaitement caractérisée, le Comité décida de punir le rameur en supprimant sa bourse d'études et en le radiant de l'Ecole dont la Grandeur et la Réputation risquaient de se voir ternir par une telle incompétence.
Lors de la réunion de clôture, le Comité statua :
" Pour le prochain challenge, nous conserverons la même organisation qui a fait ses preuves, mais nous engagerons un nouveau rameur par le biais d'un contrat d'Outsourcing, de manière à éviter toute implication directe et afin de réduire au mieux les coûts directs sans pour cela dégrader l'efficacité et la productivité des ressources de la Technocratie affectées aux objectifs définis par le Département Central de Coordination d'Analyse et approuvés par le Centre Général d'Analyse dans le cadre d'un Game Plan d'un contrôle de gestion fondé sur l'adhésion des acteurs dans une approche volontariste d'un objectif commun. "

Toute ressemblance ou similitude avec votre environnement serait fortuite !
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